Nous voici mi-décembre, et Benoît plaisante en m'envoyant une annonce de piano gratuit, à deux pas de chez moi.
J'habite dans une chambre située dans une résidence étudiante, au rez-de-chaussée. Je partage une salle commune et la cuisine avec 7 "voisins" (pas vraiment colocataires, pas vraiment flatmates, nous avons retenu corridor mates).
En fait, en septembre, j'avais été invité à une soirée dans un corridor dans lequel il y avait un piano. J'y ai repensé, et ça a tout de suite rendu l'idée "possible". La suite, le 20 décembre...
Alors, un peu de contexte. Le 20 décembre, c'était la veille de mon départ de vacances en Laponie. J'ai obtenu l'accord de mes corridor mates, rassemblé 4 amis, je suis allé "emprunter" un chariot à IKEA avec Victor, et j'ai confirmé notre rendez-vous au "vendeur".
Disclaimer: nous avons bien sûr demandé l'autorisation au magasin pour emprunter le chariot. (et ce n'est pas ironique, on l'a fait et obtenue !)
Et nous voilà partis pour déménager un piano. On ne savait pas encore...
Regardez comme on a l'air heureux... Naïfs...
Le piano était situé au premier étage, d'une résidence sans ascenseur. En arrivant, Benoît émet tout de suite quelques doutes... que Victor balaie immédiatement ! J'étais pour ma part entre les deux... Je pensais : ça se tente, on est quand même 5, mais je ne voudrais pas que quelqu'un se retrouve écrasé par le piano dévalant les escaliers. Vous vous en doutez, si je poste ce billet, c'est que nous l'avons déménagé !
Le piano, une fois au rez-de-chaussée. Il fait désormais nuit.
Le piano a souffert quelques chocs, le temps que nous trouvions une technique efficace. Il n'est plus très bien accordé, je vous l'accorde (ba-dum tsss), mais il est arrivé à bon port.
Un fika bien mérité, et joyeux Noël !